L'insuccès rencontré dans la recherche du Monastère du Prophète Elie invite les Habitués du Bistrot à ne plus considérer les données de départ comme de l'information au premier degré.
Il convient que les chercheurs rosicruciens s'élèvent pour capter le message ésotérique qui leur est destiné et qui est caché derrière une narration allégorique...
Les faits glanés ci et là informent que le jeune Sémélas (voir portrait ci-dessus colorisé au Bistrot) après ses études secondaires au lycée français d'Istanbul s'est rendu à Athènes pour poursuivre des études universitaires.
Il gardait de ses vies passées une sensibilité pour le monde invisible et il avait fait, par ailleurs, la connaissance d'un personnage avancé, lequel, discrètement surveillait son cheminement avec le secret espoir de lui transmettre, le jour venu, un héritage d'éléments en sa possession...
Sémélas le considérait comme le dernier Maître de l'Attique (la région d'Athènes).
Et, nous sommes en 1902, Sémélas, qui a 19 ans, fait un de ces rêves qui transmettent un important message de l'Être intérieur...
Une voix forte lui dit d'aller chercher sur la route du Parnasse, à Libavia en Béotie, au monastère du prophète Élie, des archives des Frères d'Orient...
Il entrepris donc un quête proche de celle que le Bistrot avait commencée avec la Nymphe d'Hercyna...
Sémélas ne trouva pas plus que le Bistrot, le Monastère du Prophète Élie, mais il finit par capter des entités templières présentes sur le site, et il fut guidé vers leurs sépultures qu'il décrira comme des Tombes Rosicruciennes...
Naturellement les Habitués du Bistrot reconnaissent le Mythe rosicrucien de l'ouverture du tombeau qui révèle l'accès autorisé à l'héritage d'une tradition (Voir à ce sujet le fameux message de Lewis "Ouvrir la Tombe")...
Sémélas se laissa conduire à ce qui fut un bassin rituélique templier, au centre duquel il remarqua 3 pierres qu'il emporta avec lui.
Mais une fois rentré à Athènes, une des pierre tomba incidemment sur le sol et se brisa. Il découvrit alors qu'elles étaient constituées d'une sorte de ciment destiné à cacher 8 tubes contenant des petits parchemins qu'il cherchera patiemment à décoder et qu'il décrira plus tard avec enthousiasme comme étant l'Héritage de la Rose+Croix d'Orient, contenant l'explication du Monde...
Le texte d'un des parchemins précisait que le découvreur de ce message serait le nouvel Hugues de Payns (une allusion au fondateur de l'Ordre du Temple).
Et, l'on reprochera évidemment au Bistrot de raconter que Sémélas avait fini par comprendre que le Monastère du Prophète Élie de son rêve faisait en réalité une allusion au vieux Maître de l'Attique dont le prénom était Élie.
Elie lui avait effectivement conseillé un petit périple prometteur en Béotie...