Cette étonnante écriture se lit "PER ANKH", nous savons que PER est la maison et ANKH la vie et que le dernier hieroglyphe (la maison) ne se prononce pas mais nous révèle que le sujet évoqué concerne bien la maison et non pas quelque chose qui pourrait s'y rapporter.
De nos jours encore, les spécialistes avouent ne savoir que peu de chose sur les maisons de vie. (On lira avec intérêt wikipedia à ce sujet).
Nous devinons que leur développement était fonction de l'importance du temple auquel elles étaient rattachées et qu'elles constituaient des lieux de formation d'un niveau plus élevé que les classes primaires gérées par les familles et qui pouvaient être organisées n'importe où.
C'était donc tout à la fois un établissement d'enseignement et de formation pour les étudiants volontaires, un centre de documentation, une loge et un collège initiatique...
La tradition rosicrucienne rapporte qu'à l'époque de la domination de l'Egypte par les Hyksos, les archives des maisons de vie avaient été rassemblées, cachées et préservées.
Et après 2 siècles d'inculture les maisons de vie, et celles des prêtres d'Amon en particulier, n'ont pas récupéré les archives qu'elles réclamaient et que détenaient fermement les premiers pharaons de la 18e dynastie.
(à suivre...)
(voir aussi "les 4 maisons et la rose d'Ankhamm")