Le compositeur germanique Johann Pachelbel (1653-1706) est connu pour cette œuvre magnifique et inspirante (le Canon en ré mineur pour 3 violons et basse continue) proposée aujourd'hui par le Bistrot de la Rose+Croix et exécuté selon la fameuse fréquence rosicrucienne, le La 427.
Voici tout d'abord quelques notes d'une version plus classique:
Ma mère m'avait expliqué avoir étudié en cours d'histoire de la musique que le La n'avait pas toujours été à 440hz comme aujourd'hui. Cet article m'a fait réaliser une petite recherche sur le net et la fréquence qui revient souvent est le fameux 432hz. (Je n'ai fait qu'une brève recherche mais quasi pas d'info sur le La à 427 hz).Voici un bref résumé d'infos sur la fréquence du La: <br />
il s'agit en réalité d'un problème moderne qui n'est pas antérieur au 16e siècle, et la musique occidentale plus ancienne, comme la plupart des musiques du monde, ne connaissent tout simplement pas la notion de diapason. Le musicologue Bruce Haynes, spécialiste de la musique baroque, a fait un inventaire remarquable sur plus de 1500 instruments anciens étudiés dans leur état original. Orgues, Flûtes, Cornets, Clarinettes, y compris le Hautbois, ainsi que d’autres instruments à vent entre la Renaissance et l’époque romantique. La fréquence du La à 431 ou 433 Hz est plus courante. Mais 405, 415, 440 ou 465 Hz le sont encore davantage. Ces faits sont incontestables : la consultation des moyennes relevées par Bruce Haynes ne laissent aucun doute au chercheur. J'ignorais pour le coup que le La 427 était la fréquence rosicrucienne, mais il est fort possible que ma mémoire me fasse défaut. En tout cas, les sons vocaux entonnés en loges / chapîtres/ pronaoi se font sur base des diapasons actuels (mélodica ou petit synthé pour donner la tonalité "juste" (ou pas, en fin de compte)...
Merci Justificus.<br />
Oui le La 427 est un sujet sur lequel le rosicrucianisme lewissien attirait l'attention au 1DT, et ceci discrètement car HSLewis préférait toujours passer pour un imbécile que pour un prétentieux... J'invite chacun à utiliser le moteur de recherche du Bistrot avec 427... Divers messages peuvent permettre d'effleurer ce sujet sans profaner son ésotérisme particulièrement enrichissant.<br />
Il est dommage que Bruce Haynes n'ait pas eu l'opportunité d'étudier les flûtes égyptiennes et constater qu'à 10 siècles d'écart les mêmes fréquences étaient utilisées au Hz près!<br />
Au niveau du Bistrot il ne peut y avoir qu'une invitation discrète faite aux Habitués à expérimenter par eux-mêmes et découvrir l'étrange différence mystique entre ces fréquences pour accéder à ce qui ne peut être révélé!<br />
Bien fraternellement._/\_<br />
Une Monographie Rosicrucienne du Deuxième Degré Néophyte
L’emploi de l’article « une » dans le titre traduit l'approche personnelle du bistrotier dans la transmission des symboles que le Cosmique révèle aux Rosicrucienx.
Le terme « monographie » désigne aujourd’hui une étude approfondie sur un sujet précis.
Dans la sagesse égyptienne, cette transmission passait par un hiéroglyphe, porteur de trois niveaux d’interprétation : concret, abstrait et ésotérique.
Le « graphe » est la graine profane issue de la plante égyptienne, dont le hiéroglyphe incarne la fleur sacrée.
Cette monographie rosicrucienne révèle pourquoi le Hedjet, la couronne attribuée au pharaon de Haute-Égypte, constitue le symbole secret du 2e Degré Néophyte.
L’étudiant découvrira qu’un engagement personnel est nécessaire pour obtenir des résultats précis dans son développement psychique.
Ces progrès, lorsqu’ils sont menés à bien, peuvent prendre entre deux mois et un an.
Rapidement, dans sa nouvelle classe, il constatera une transformation notable entre ce qu’il était auparavant et ce qu’il est devenu.
Le Bistrot de la Rose+Croix est un site indépendant unique. Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. Ce sont des milliers de messages exclusifs en accès libre, inspirés par la mystérieuse pensée rosicrucienne. Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...