Le mot "Chohan" est généralement incompris.
Il semble venir du tibétain "choskhyong" qui signifie maître-initiateur et qui a donné en indi moderne chokhaan (चोहान) avec le même sens.
Le terme a été vulgarisé par Helena Blavatsky au 19e siècle et souvent détourné depuis par des successeurs, disons "moins bien connectés" qui ont construit un business avec des folkloriques "chohans des 7 rayons" devenus les "maîtres ascensionnés" que "chanellisent" très sérieusement certains médiums du new-âge...
L'idée déposée aujourd'hui sur le comptoir du Bistrot suggère qu'à certaines époques, les chercheurs sincères pourraient se trouver boostés par un chohan...
Celui-ci leur prodiguerait, sur le plan terrestre, une initiation digne de ce nom et une formation spécialement adaptée et personnalisée qui élèverait considérablement leur niveau vibratoire afin de leur permettre de purifier rapidement leur corps psychique et de jouer un rôle actif apprécié dans une période charnière.
Resterait éventuellement à chacun des chercheurs sincères à trouver le chohan qui silencieusement l'attend...
La représentation ci-dessus évoque ce que les mystiques nomment "les quatre règnes" (minéral, végétal, animal et humain) avec des indices proportionnels à leur niveau vibratoire de force vitale.
Le Bistrot fait miroiter aux habitués la possibilité d'accéder grâce au savoir faire du chohan (non représenté) à un 5e règne, un état plus avancé d'êtres libérés des charges égotiques (ce que représente le bel athlète...).