"L'histoire n'enseigne rien, elle rappelle seulement, elle donne de la profondeur aux actions présentes et aux entreprises futures."
La culture populaire a évidemment entendu que l'histoire est écrite par les vainqueurs...
Ce qui complique parfois les choses c'est que les vainqueurs ne sont pas nécessairement ceux qui passent pour tels!
L'honnête homme se trouve donc devant la tâche difficile de devoir reconstituer lui-même l'histoire du monde ou simplement l'actualité sans se laisser influencer...
La formule en gras est attribuée à un de ces Rosicruciens discrets de la fin du 19e siècle et du début du 20e.
C'est lui, sur ce qui est peut-être, la seule photo laissée à la postérité...
Les investigateurs du Bistrot se feront peut-être une joie instructive de chercher à identifier ce mystérieux personnage.
N'est-ce pas une recherche prometteuse que de chercher à reconnaître des traces de rosicrucianisme au cours des âges?
Quelques détails pour aider:
- C'était un juif alsacien.
- Il laissa des jardins de paix, composés de cultures et de paysages de tous les pays du monde, séparés par des haies d'arbres fruitiers et de rosiers anciens.
- Le gros de son œuvre fut de transmettre des archives de la terre sous forme de photos parfois autochromes ou stéréoscopiques...
Sa formulation du début affiche cette pensée rosicrucienne caractéristique, modeste et confiante dans la "grandeur de l'œuvre".
Magna est veritas et provalebit.
(Grande est la vérité et elle prévaut!)