6 juillet 2014 7 06 /07 /juillet /2014 07:55

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Le récent message sur l'étonnante réalisation de Cornelius Agrippa nous laissait entrevoir une personnalité offrant les signes typiques du rosicrucianisme mais difficile à discerner au travers de la sombre réputation que le monde profane attribue très vite aux personnalités atypiques.

 

Il est d'ailleurs significatif que Spencer Lewis reconnaissait la Maîtrise de Cornelius Agrippa au point de le mentionner à diverses reprises (par exemple dans la "Maîtrise de la Vie") alors qu'après 1939, Ralph Lewis avait plutôt tendance à l'écarter discrètement pour ne pas avoir à assumer d'inutiles difficultés.

 

Nous sommes donc à Lyon où Agrippa surgit en 1524.
 

Il est relativement facile de se représenter le milieu de Rosicruciens avancés au sein duquel Agrippa rayonne.

 

Il s'agit des "angéliques"...
 

Sans accès privilégié à la "conscience cosmique", comment comprendre ce que cache cette formulation?

 

Ce terme fournit pourtant les clefs, si l'on comprend que le terme d'"ange", doit d'abord être dégagé des superstitions religieuses et de l'approche des magiciens de l'astral pour retrouver le sens grec άγγελος (aggelos) qui correspond à ce que nous nommerions un "Guide" ou un "Maître Cosmique"...

 

Encore de nos jours un "messager" se dit en grec "αγγελιαφόρος" (aggeliaforos) avec l'idée d'agir comme un ange...

 

Nous voyons donc se rassembler à Lyon une fraternité d'initiés qui assument un mission de relai de "Messagers Cosmiques".

 

Un pouvoir particulier se trouve à leur disposition: Gutemberg, mort en 1468, a légué à la postérité une grande nouveauté: les presses à imprimer et Lyon devient un grand centre d'imprimeurs en particulier avec l'arrivée de Sebastien Gryphe qui crée en 1536, avec le financier Hugues de la Porte, son Atelier du Griffon.

 

Mais dans le contexte inquisitoire de l'époque, il convient de rester très prudent et les "angéliques" doivent naturellement rester invisibles et secrets.

 

Les imprimeurs constituent naturellement une "guilde", une corporation, dont le rayonnement déborde le simple cadre de l'édition et du commerce des libraires pour concerner tout un vivier rayonnant d'écrivains, de poètes, d'érudits et naturellement des chercheurs et des mystiques, hommes et femmes.

 

L'histoire raconte que de, même que le Roi François Ier fréquentait assidûment la guilde des imprimeurs parisiens, sa sœur Marguerite de Navarre (qui n'était pas encore la Grand-Mère d'HenriIV) accueillit comme médecin personnel Cornelius Agrippa...

 

Il est encore assez facile, de nos jours de reconstituer une liste de personnes qui, comme Rabelais, Clément Marot ou Nostradamus, gravitaient autour des angéliques...

 

Mais l'histoire serait incomplète sans relever une évidente jonction entre les "angéliques" et "l'AGLA"...
 

Dans "Agla", nous retrouvons naturellement nos "aggeliaforos" et nous voyons se profiler une formule magique pour les invoquer ...

 

En effet AGLA est un sigle que l'on prononce selon l'intention "agla", "aggéléa" ou "aggélia" et en hébreu אגלא (agla) propose une respectueuse formule hébraïque (אתה גבור לעולם אדני) "Atah Gibor Leolam Adonai" qui est généralement traduite par "A toi seigneur puissant et éternel".

 

Si les Rosicruciens ne manquent pas de reconnaitre en "AGLA" une expression active de ce que les grecs nommaient le "Noùs", exprimant les deux polarités de la création, agissant en croix, à éveiller et à apurer en soi, constituée de "l'Esprit" qui permet d'AGlomérer la matière que la "Force Vitale" alLAite, cela n'empêche pas les apprentis sorciers d'être à la recherche de pouvoirs immérités et de rituels pittoresques commençant par placer 4 archanges autour de leur cercle magique comme le ferait un sympathique dresseur de caniches.    

 

Mais l'AGLA n'a pas été créé à Lyon au 16e siècle...

 

En effet, le talentueux maître d'œuvre Villard de Honnecourt mentionnait déjà l'Agla au 13e siècle dans son célèbre et magnifique manuscrit dont il reste encore quelques pages à la Bibliothèque Nationale dans lequel il convient d'apprécier en particulier le Christ en croix cachant sa nudité avec un "perizonium" (un pagne) fermé avec une boucle comme le font parfois les Rosicruciens avec leur tablier; et la curieuse trinité composée de Jésus, Marie et Saint Jean qui se reconstitue dans l'image ci-dessus révélant un aspect de l'AGLA. 

  

Apprécier aussi l'époque épique, qu'est la notre, où certains pensent sincèrement parvenir à la Maîtrise en s'emparant pour leur seul profit des meilleurs pages des manuscrits publics!

 

Mais l'Agla semblait également connue des "Parfaits" (les "Cathares", = les purifiés) qui laissèrent au 13e siècle l'inscription suivante dans les "spoulga", leurs grottes consacrées. 

  agla-cathare.jpg

 

 

A Lyon l'Agla des Angéliques était liè à un symbole connu sous le nom de "Quatre de Chiffre".

 

quatre-de-chiffre.jpg
 

Comme les Habitués le savent bien, le propre d'un symbole est de représenter sous une forme abstraite une essence divine susceptible de s'exprimer sous des manifestations diverses, parfois très différentes...
 

C'est ainsi que le "Quatre de Chiffre" peut représenter une presse manuelle d'imprimeur.

 

En effet, chacun peut imaginer que la partie supérieure est en mesure de s'abaisser pour imprimer un document.
 

Mais le "Quatre de Chiffre" exprime pour les initiés la Croix de l'Agla et au cas où l'inquisition montrerait le bout de son nez, il serait aisé de se justifier en précisant qu'il s'agit d'une représentation du signe de croix des chrétiens, représentation justifiée par le fait que la grosse activité de la Guilde des Imprimeurs consiste alors à imprimer des Bibles... 

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commentaires

J
Je veux en savoir plus en ce qui concerne agla
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Les Trésors De La Cave...

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Hymne Rosicrucien 1916

Let There Be Light

 

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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