Les rosicruciens par leurs exercices divers développent leur réceptivité.
Une épreuve attend souvent ceux qui ne faisaient pas la différence entre sensibilité et sensiblerie.
La sensiblerie ne consiste t'elle pas à prendre sur soi la charge d'une souffrance, comme si notre sensibilité nous obligeait à nous sentir coupables de manque d'amour chaque fois que nous sommes témoins d'une souffrance?
Naturellement, au lieu de toujours prendre de cœur à cœur les problèmes des autres et de chercher à les digérer en surchargeant notre plexus solaire, ce que le corps psychique concrétise parfois (ce n'est pas toujours le cas) par un surplus de masse corporelle..., la sagesse consiste à apprendre à agir en préservant son intégrité.
Cela peut faire songer à une possible métaphore issue d'une chanson de Bourvil reprise par Gainsbourg: "s'étendre sans se répandre"?
Faut savoir s'étendre
Sans se répandre
Pauvre Lola
Faut savoir s'étendre
Sans se répandre
C'est délicat
Globalement, nous pouvons aussi sombrer dans les pièges de "l'amour universel" que ne manquent pas de susciter les "renards libres" en quête d'un "poulailler libre"...
Ne nous égarons pas: la "formule de Shantideva" pour éviter les soucis contient le rappel d'un processus importante à intégrer. (Voir "Ne te fait pas de soucis!").