Naturellement le chercheur rosicrucien s'efforce de rester insensible aux tentations profanes qui visent éternellement à caresser l'ego dans le sens du poil.
Dans le rosicrucianisme, contrairement aux démarches religieuses ou sectaires, il ne s'agit pas de transformer nos vices en vertus en suivant les processus d'une alchimie interne qui utiliserait "un vitriol impur"...
La démarche rosicrucienne utilise le "vitriol" le plus pur qui soit si la sincérité est telle qu'elle n'alimente jamais l'ego et s'écarte des égrégores.
Notre formation rosicrucienne se doit donc d'approfondir la manière dont notre ego se laisse conditionner par d'autres et évidemment par nous même...
Le petit texte qui suit est une classique énumération des processus manipulatoires que les Buveurs et les Buveuses pourraient laisser passer en appréciant d'être un "chevalier blanc" face aux "chevaliers noirs"...
"Nos adversaires ont tort, nous ne leur voulons aucun mal, mais ils sont responsables de tout: il sont sombres et parfois diaboliques.
Notre cause est noble, elle n'est pas guidée par un intérêt particulier.
Ils provoquent des atrocités, tandis que s'il nous arrive évidemment de commettre une erreur c'est involontaire.
Les outils qu'ils utilisent sont immondes, mais il ne pourront rien de définitif contre nous car les forces du bien finissent toujours par triompher.
Nos adversaires ont tout à perdre, les êtres avancés sont de notre côté, car notre idéal est sacré et celui qui le mettra en doute doit savoir qu'il s'engage dans la mauvaise direction et que nous devons le considérer comme un traître."
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Et le diablotin est la copie d'une girouette vendue ici.